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11 février 2012 6 11 /02 /février /2012 13:21

Le can­didat socia­liste à la pré­si­dence de la Répu­blique a reçu le 25 janvier une délé­gation du Conseil repré­sen­tatif des ins­ti­tu­tions juives de France (CRIF).

Par Dominique Vidal

Le Crif a publié hier lundi sur son site un compte-​​rendu de cette ren­contre, dont on trouvera ci-​​dessous le texte intégral. Sa lecture, en l’absence d’un com­mu­niqué de François Hol­lande ou de ses porte-​​parole, pose plu­sieurs problèmes :

1) Au-​​delà des décla­ra­tions d’amitié du can­didat socia­liste pour Israël, l’article du CRIF n’indique rien sur les prin­cipes de la poli­tique proche-​​orientale de la France que François Hol­lande, s’il devient pré­sident de la Répu­blique, entend déve­lopper. Qui est res­pon­sable, selon lui, de l’impasse per­sis­tante du "pro­cessus de paix" ? Condamne-​​t-​​il la colo­ni­sation accé­lérée de la Cis­jor­danie et de Jérusalem-​​Est ? La France reconnaîtra-​​t-​​elle l’État de Palestine et œuvrera-​​t-​​elle à son admission comme membre à part entière des Nations unies, comme le prévoit pourtant son enga­gement n°59 ?

2) Tou­jours selon le texte publié par le site du CRIF, le can­didat socia­liste aurait fait état de sa "fermeté" face aux actes "anti­sé­mites" et - ajoute le compte-​​rendu - "anti­sio­nistes". De quoi s’agit-il dans l’esprit de François Hol­lande ? Qu’on me com­prenne bien : je n’ignore évidemment pas que l’antisionisme affiché par cer­tains camoufle mal leur anti­sé­mi­tisme. Mais telle ou telle pro­vo­cation ne saurait amener à cri­mi­na­liser toute cri­tique de la poli­tique d’Israël et de l’idéologie - sio­niste - dont ses diri­geants se réclament. Assi­miler l’antisionisme à de l’antisémitisme constitue, de sur­croît, un contre-​​sens his­to­rique : jusqu’à la Seconde Guerre mon­diale et au judéocide, les orga­ni­sa­tions sio­nistes étaient mino­ri­taires dans la plupart des com­mu­nautés juives à travers le monde. Plus : la majorité des Juifs - com­mu­nistes, bun­distes, libéraux ou ortho­doxes - désap­prou­vaient l’idée de construire un État juif en Palestine. Et, même au sein du Yichouv, la com­mu­nauté juive de Palestine, une très forte minorité prônait un fédé­ration judéo-​​arabe. Qui osera les traiter d’"antisémites" ? Imagine-​​t-​​on les gaul­listes exiger l’interdiction de l’antigaullisme, ou les com­mu­nistes de l’anticommunisme ? Qui­conque défend une idéo­logie et se veut un démo­crate doit accepter qu’elle soit mise en cause…

3) Cette regret­table "inno­vation" - si elle est bien le fait de François Hol­lande - est d’autant plus dom­ma­geable qu’elle inter­vient au moment où les séna­teurs socia­listes reprennent à leur compte une pro­po­sition de loi de l’UMP visant à étendre l’obligation de neu­tralité aux struc­tures privées en charge de la petite enfance et aux assis­tantes mater­nelles à domicile. Sous couvert de laïcité, cette nou­velle escalade porte atteinte aussi bien à l’égalité devant le travail qu’à la liberté de conscience - les "nounous" pour­raient faire l’objet de contrôles à leur domicile pour vérifier si elles portent un voile (il ne s’agit pas, précisons-​​le, de la burqa) ! Mais une telle concession à l’islamophobie à la mode choque au point d’avoir des consé­quences poli­tiques inat­tendues. Je peux en témoigner per­son­nel­lement, ayant entendu, il y a peu, dans une conférence-​​débat, de jeunes musulmans, ren­voyant dos-​​à-​​dos la gauche et la droite, se poser la question de voter pour Marine Le Pen. Mar­ginale à coup sûr, cette réaction est-​​elle pour autant isolée ? Et le Parti socia­liste comme son can­didat en ont-​​ils conscience ?

 

Compte-​​rendu de la rencontre entre François Hollande et le CRIF

"Une forte délé­gation du CRIF conduite par le pré­sident Richard Pras­quier a été reçue le 25 janvier 2012 au Q.G. de cam­pagne du can­didat socia­liste à l’élection pré­si­den­tielle, avenue de Ségur dans le 7ème arron­dis­sement de Paris.

Dans une ambiance cha­leu­reuse, convi­viale et franche, les sujets les plus divers ont été abordés : le pro­chain dîner du CRIF, la laïcité, l’école juive, les crèches, l’abattage rituel, les pro­blèmes liés aux signes dis­tinctifs reli­gieux dans l’espace public, l’antisémitisme et l’antisionisme, le boycott d’Israël, les rela­tions judéo-​​musulmanes ou encore la montée du Front national.

Richard Pras­quier a rappelé que le CRIF est très attaché à la laïcité comme à la loi de 1905 et qu’il n’est pas favo­rable à l’idée d’Eva Joly d’un jour férié national pour le Yom Kippour. Pour ce qui est de l’antisémitisme, si, glo­ba­lement, on ne constate pas d’augmentation des actes par rapport à l’an passé, il convient de sou­ligner une mul­ti­pli­cation par dix en douze ans.

Sur cette délicate question, le can­didat socia­liste a assuré le CRIF de son enga­gement de fermeté contre les actes anti­sé­mites et anti­sio­nistes. Il compte mener des actions éner­giques dans les domaines de l’éducation, de la péda­gogie et de l’information. « Je ne lais­serai rien passer » a-​​t-​​il affirmé.

À propos de l’école juive, François Hol­lande a assuré que la loi Debré ne serait pas remise en question. Et, pour ce qui est de la vio­lence, il se pro­nonce pour la for­mation d’éducateurs spé­cia­lisés dans la prévention.

Concernant le Proche-​​Orient, François Hol­lande a sou­ligné que si Israël est l’objet de tant de cri­tiques c’est qu’il constitue une grande démo­cratie. C’est sans doute, a-​​t-​​il ajouté, au PS que l’on trouve le plus grand nombre d’amis d’Israël et du peuple juif. François Hol­lande, qui a confirmé la pro­chaine visite en Israël de Laurent Fabius, a fait part à ses hôtes de l’invitation à visiter Israël de la nou­velle pré­si­dente du parti tra­vailliste, Shelly Yachimovitch.

Le pré­sident du CRIF était accom­pagné de Haïm Musicant, directeur général, d’Ariel Goldmann et Meyer Habib, vice-​​présidents, de Francis Kalifat, tré­sorier, de Roger Benarrosh, vice-​​président hono­raire, de Nathalie Cohen-​​Beizerman, Jean-​​Pierre Allali, Yonathan Arfi, Arié Ben­semhoun, Marc Zerbib, membres du bureau exé­cutif et d’Ariel Amar, conseiller du président.

Pour sa part, François Hol­lande était entouré de Pierre Mos­covici et de Manuel Valls."

Mardi 31 janvier 2012

*Titre original :"Jeu dangereux pour François  Hollande"


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11 juin 2011 6 11 /06 /juin /2011 11:46

Par Oumma

L’ex-ministre de l’Intérieur, Brice Hortefeux qui avait été condamné en première instance le 4 juin 2010 à une amende de 750 euros pour des propos jugés « outrageants » ( voir vidéo-ci-dessous) "envers les personnes d’origine arabe", était jugé hier devant la cours d’appel de Paris.

Fidèle à lui-même, toujours prêt à soutenir les puissants, le recteur de la Grande Mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, incarnation d’un islam néo colonial, a enfourché son tapis volant pour voler au secours de Brice Hortefeux. Dans la poche de sa djellaba, le recteur n’ a pas omis d’emporter avec lui sa fameuse brosse à reluire, qui a certes été beaucoup utilisée, mais dont les fibres ont conservé toute leur vigueur, grâce notamment à l’huile de coude de Dalil. Ses capacités phénoménales de cireur ne sont plus à démontrer, et le recteur a encore une fois effectué un cirage de pompes impeccable lors de ce procès, en qualifiant l’attitude de l’ex-ministre de l’Intérieur de « bienveillante, ouverte, favorable, préoccupée » à l’égard de l’islam en France.

Bref, notre Dalil national n’ a pas son pareil pour absoudre les islamophobes surtout quand ils sont ministres (ou ex-ministres).

Voir la vidéo sur http://oumma.com/Dalil-Boubakeur-sort-la-brosse-a?utm_source=Oumma+Media&utm_campaign=2bc5117037-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email

 

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10 avril 2010 6 10 /04 /avril /2010 16:18

 

 

« Ne vous excusez plus en notre nom »

(SNJ-CGT Radio France)

 


Nous publions ci-dessous un communiqué du SNJ-CGT de Radio-France dénonçant les excuses présentées à Eric Besson par le PDG de Radio-France, après la chronique de Stéphane Guillon du 22 mars 2010.

 

 

Par SNJ/CGT

Non, Radio France n’avait pas à s’excuser pour une chronique qui n’avait rien de scandaleux. Nous en avons assez de cette polémique qui n’a pas lieu d’être pour laquelle vous avez cru bon d’intervenir en tant que pdg de Radio France, donc au nom de tous les salariés de l’entreprise.

Ce ne sont pas les salariés qui ont choisi de mettre Stéphane Guillon à l’antenne. Nous considérons toutefois qu’il réalise sa chronique avec un talent qui lui assure, ainsi qu’à France Inter, un succès incontestable. C’est pourquoi nous ne comprenons pas les vives critiques que vous lui avez adressées publiquement et encore moins les excuses également publiques que vous avez faites à Monsieur Besson. Vous avez de surcroît publié la semaine passée une tribune dans le journal "Le Monde" qui revient sur cette affaire en des termes inacceptables.

Le Snj-Cgt dénonce et dénoncera toujours avec force tout propos raciste sur les antennes de Radio France. Si de tels propos avaient été tenus cette fois-ci, nous demanderions des sanctions de la plus grande sévérité et nous trouverions votre réaction bien en deçà de ce qu’elle devrait être. De même, si de tels propos avaient été tenus cette fois-ci, Monsieur Besson, qui est loin d’être l’agneau sans défense qu’il prétend être face à la caricature, aurait pu et dû porter l’affaire devant la Justice. Il ne l’a pas fait. Tout simplement parce qu’il ne s’agit pas de racisme. Le physique du ministre a été moqué non pas en raison de ses origines ou de son appartenance à tel ou tel groupe. Cela aurait été raciste. Il a été moqué en raison de son parcours et de ses actions politiques, toutes choses sur lesquelles ce dernier a entière responsabilité et libre arbitre. Un homme ne choisit pas ses origines. Un homme politique, par contre, a le choix des actions qu’il mène. Nous maintenons qu’en cherchant à interdire de se moquer de ces choix, même par des attaques sur le physique, vous portez atteinte à la liberté de caricature, de satire et d’expression.

Le plus préoccupant à nos yeux, Monsieur le président, c’est que vous ne semblez pas mesurer le paradoxe qu’il y a à invoquer dans votre tribune les "heures sombres" de notre histoire pour critiquer une chronique qui moquait un ministre de "l’identité nationale" dont la politique consiste, entre autres choses, à faire expulser par la police française des milliers de travailleurs immigrés. Pour nous, ce ne sont pas les chroniques de Stéphane Guillon mais plutôt cette politique qui rappelle des "heures sombres", menace le "pacte républicain" et mériterait des excuses à ceux dont les droits sont bafoués.

Personne ne vous empêchera de faire à titre privé des excuses à qui bon vous semble si cela vous soulage. Mais ne vous excusez plus en notre nom.

 

 

 

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4 avril 2010 7 04 /04 /avril /2010 18:51

 

 

 

 


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20 février 2010 6 20 /02 /février /2010 18:08
Texte repris de http://jacques.tourtaux.over-blog.com
Traduction reprise depuis Solidnet par http://solidarite-internationale-pcf.over-blog.net/
Rencontre de Partis Communistes d'Europe sur la distorsion de l'histoire de la Seconde guerre mondiale dans l'éducation
Nous, les partis soussignés, condamnons la campagne anticommuniste acharnée qui s’opère dans l’Europe tout entière. Les organisations impérialistes telles que l’Union européenne, l’OTAN, mais aussi l’OSCE, le Conseil de l’Europe ainsi que presque tous les gouvernements bourgeois européens ont lancé et intensifié une campagne anticommuniste mensongère et diffamatoire dans l’objectif stratégique de contaminer la conscience des peuples et des travailleurs par un anticommunisme éhonté. Leur objectif est d’effacer la contribution sans précédent du socialisme au 20e siècle et d’affirmer la permanence présumée du système capitaliste. Dans le cadre d’une crise capitaliste, l’anticommunisme est le fer de lance de la promotion de l’offensive la plus cinglante contre les travailleurs. Cette offensive, menée par l’Union européenne, la classe bourgeoise et les gouvernements qui les soutiennent (libéraux et sociaux-démocrates), cherche à assurer une rentabilité maximale au capital. Ils promeuvent l’anticommunisme à propos de tous les évènements historiques, altérant le sens de toutes les révolutions socialistes et même nationales, de la lutte des classes et des évolutions historiques. Ils ciblent surtout les jeunes afin qu’ils ne puissent pas apprendre la vérité historique et qu’ils adoptent la propagande antisocialiste.

La falsification de l’Histoire, et en particulier de l’histoire de l’URSS, n’a qu’un but : empêcher les peuples et les travailleurs européens de concevoir, ne serait-ce qu’un instant, la nécessité de renverser l’insupportable système capitaliste pour le remplacer par le socialisme.

Un des principaux moyens de cet assaut idéologique et politique est la distorsion de la Seconde Guerre mondiale. La tentative d’assimiler formellement le socialisme et le communisme au fascisme ne repose sur aucune base historique quand on sait que le nazisme et le fascisme s’appuient sur une idéologie de haine et de xénophobie, alors que le communisme et le socialisme se basent sur une idéologie de solidarité et de justice sociale. Les deux idéologies sont diamétralement opposées. Suite aux efforts particuliers pour déformer les causes de la Seconde Guerre mondiale, le 23 août a été déclaré jour du souvenir anticommuniste. La tentative de violer la vérité historique se poursuit à travers la dépréciation du rôle pourtant incontournable de l’URSS dans la grande victoire antifasciste et dans l’après-guerre. La propagande antisocialiste et les évènements récents à l’occasion du 20e anniversaire de la chute du mur de Berlin ne font pas exception à cette voie réactionnaire de falsification de la vérité historique.

La vérité historique ne peut pas être effacée. La contribution du socialisme à la défaite du fascisme, aux droits des peuples, à la confiance envers le futur et aux réalisations du peuple dans les pays socialistes est indiscutable. N’oublions pas l’impact positif de ces exploits sur la classe ouvrière dans les pays capitalistes, qui a forcé les capitalistes à faire des concessions à la lutte des peuples. Malgré des faiblesses et des défauts, les réalisations du socialisme sont aujourd’hui un rêve pour les peuples, alors que le capitalisme ne pourra pas et ne voudra pas résoudre les problèmes qui affligent les populations.

Nous apportons notre soutien inconditionnel à la lutte pour la défense et la valorisation des vérités historiques et scientifiques dans les écoles, les institutions et les universités. Nous demandons l’éradication de l’anticommunisme dans les manuels scolaires et dans l’enseignement universitaire. Il est nécessaire que les jeunes générations apprennent la vérité historique sur la Seconde Guerre mondiale, les lois de la nature et de la société humaine. Ils devraient en particulier apprendre la théorie de l’évolution de Darwin et la théorie marxiste de la structure de classe, de la lutte des classes et de l’analyse du capitalisme en tant que système économique. Le rôle des Partis communistes et ouvriers ainsi que celui des organisations de jeunesse communistes sont vitaux en ce qui concerne le travail dans les masses, et plus particulièrement parmi les jeunes travailleurs et les étudiants. Le travail à la fois scientifique et d’éclaircissement des scientifiques, des éducateurs, des personnalités intellectuelles et sociales pourrait contribuer grandement à cet effort. La classe ouvrière et les couches populaires défavorisées ont le droit de lutter pour une société sans exploitation, pour le socialisme.

Nous condamnons fermement la persécution et la condamnation des partis communistes et des organisations de jeunesse communistes ; nous exprimons notre solidarité aux victimes des attaques anticommunistes ainsi que de la chasse aux sorcières. Ce que cache la « démocratie » de l’Union européenne, du capitalisme et des multinationales devient de plus en plus évident : elle a un contenu de classe, elle n’est démocratie que pour la minorité et signifie l’exploitation et l’oppression pour la majorité.

Les partis signataires:

Parti du Travail de Belgique
Parti Communiste de Grande-Bretagne
Nouveau Parti Communiste de Grande-Bretagne
Parti des Communistes Bulgares
Parti Socialiste Ouvrier de Croatie
AKEL, Chypre
Parti Communiste au Danemark
Parti Communiste du Danemark
Parti Communiste d'Estonie
Parti Communiste Allemand
Parti Communiste de Grèce
Parti des Travailleurs d'Irlande
Parti Socialiste de Lettonie
Parti Socialiste de Lituanie
Parti Communiste du Luxembourg
Nouveau Parti Communiste des Pays-Bas
Parti Communiste de Pologne
Parti Communiste Portugais
Parti Communiste de la Fédération de Russie
Parti Communiste des Travailleurs de Russie
Parti Communiste des Peuples d'Espagne
Union des Communistes d'Ukraine
Source : http://www.wmaker.net/edittoweb/nicolas_maury/






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20 février 2010 6 20 /02 /février /2010 17:09



Par Dj. B.

Une bonne nouvelle : le harki "palestinien" ne se représentera pas aux élections. De toute manière, il sait que s'il le fait il n'aura aucune chance d'être élu.

http://www.aloufok.net/spip.php?article1475
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5 février 2010 5 05 /02 /février /2010 00:00
Voici deux citations de celui que les sondages disent favori aux prochaines présidentielles en France : Dominique Strauss-Kahn.

"Je considère que tout Juif dans la diaspora, et donc c'est vrai en France, doit partout où il le peut, apporter son aide à Israël. C'est pour ça d'ailleures qu'il est important que des Juifs prennent des responsabilités politiques."

(Entretien à Passages, 1991)

Chaque matin, je me lève en me demandant comment être utile à Israël".
(Tribune Juive)
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30 janvier 2010 6 30 /01 /janvier /2010 15:24










 

 Par
Agence Indigène de Presse(AIP), jeudi 28 janvier 2010, 13h. 

Selon un témoin digne de foi, le philosophe sioniste, Alain Finkielkraut, a commis ce matin une grave « incivilité », de celles qu’il aime à dénoncer chez les nègres et les bougnoules de banlieue. Il a en effet été surpris dans une rame du RER en train de se faire sévèrement sermonner par des contrôleurs qui lui reprochaient de frauder.

Désemparé d’être pris en flagrant délit, passablement vexé également de n’être pas reconnu, l’intellectuel-star des plateaux télé, n’a rien trouvé de mieux à faire que d’exhiber un ticket de métro en prétextant qu’il lui avait été impossible de le composter. Ce à quoi les contrôleurs, qu’on n’accusera pas d’antisémitisme, se sont empressés de rétorquer qu’un tel titre de transport, valable pour Paris intra-muros ne pouvait évidemment pas être validé dans une gare du RER située au-delà ! S’étant bien fait tirer les oreilles, Finkielkraut n’a donc pas pu échapper à une amende bien méritée. Reste une question : a-t-il pris les contrôleurs pour des cruches en leur présentant un billet non valable ou vivait-il pour la première fois l’aventure exotique d’un voyage en RER ? Quoi qu’il en soit, en attendant d’avoir la réponse à cette question, on l’appellera Finkielfraude, car, s’il n’est sûrement pas un as de la resquille, il est avéré qu’il excelle à passer en fraude les idées les plus pourries. (API)

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