C'est l'espace (un de plus mais il n'y en a jamais assez) des sans-voix, des opprimés, mais aussi celui des femmes et des hommes qui agissent pour le plus grand bien de la Révolution.
Ramenez-moi l'ivresse
et l'odeur âcre de la cordite
un chapelet de munitions
pour égrener mes nuits de guet
et une esclave couleur de miel
Djamal Benmerad
Extrait de "On ne meurt bien qu'en Algérie"
Editions Rebelles