C'est l'espace (un de plus mais il n'y en a jamais assez) des sans-voix, des opprimés, mais aussi celui des femmes et des hommes qui agissent pour le plus grand bien de la Révolution.
Lorsque ma poésie
se pare de ton prénom
la prison devient
une maison de plaisance
et les murs de cette prison
un voile de soie
cette soie que tu mettras
le jour de ma sortie
Djamal Benmerad
Extrait de Chants d'amour et de combat
Editions L'Harmattan