C'est l'espace (un de plus mais il n'y en a jamais assez) des sans-voix, des opprimés, mais aussi celui des femmes et des hommes qui agissent pour le plus grand bien de la Révolution.
Par Fatma Boufenik
je viens d'apprendre par un jeune qui s'occupait des refugiés sub sahariens à Oran (Algérie) qu'ils ont été transférés à Tam. Les autorités ont menti en disant qu'ils les ont mis au centre de Boutafis. Il faut alerter l'opinion publique à ce propos- une expulsion qui ne dit pas son nom