C'est l'espace (un de plus mais il n'y en a jamais assez) des sans-voix, des opprimés, mais aussi celui des femmes et des hommes qui agissent pour le plus grand bien de la Révolution.
Par Djamal Benmerad
J'aime la poussière
du trottoir que foulent tes pas
comme je m'énivre
de l'odeur que tu exhales
nue
à chaque aube
qui fait mes jours
Extrait de Le Chant des Hommes
à paraître chez L'Harmattan