La CGT-Force Ouvrière apporte son soutien à la Confédération Générale du Travail Grecque (GSEE) qui appelle les travailleurs à une grève le 24 février pour protester contre les conséquences de
déclarations et décisions des institutions européennes (Commission, Conseil, et Banque centrale) qui entraînent le gel des salaires, la diminution des pensions de retraite, des licenciements dans
les services publics, et une atteinte grave à l’ensemble des droits des travailleurs.
Elle dénonce l’action nocive des agences de notation et des banques telle que Goldman Sachs, celle-ci ayant été à la fois le mauvais conseiller du gouvernement grec et l’initiatrice de la
spéculation sur la dette grecque sur les marchés financiers.
Comme la GSEE, la CGT-Force Ouvrière considère que l’Union européenne doit changer ses priorités en abandonnant sa soumission aux principes du libéralisme économique conduisant à la suprématie
des marchés financiers pour adopter une stratégie de progrès social.
Source force-ouvriere.fr